« Je pense qu’on a longtemps pris trop de gants. Il faut désormais appeler un chat un chat, insiste Christelle Mazza, qui a fait reconnaître la responsabilité de l’Éducation nationale en 2021 devant un tribunal administratif au sujet d’un enfant de sept ans harcelé par l’un de ses camarades. La reconnaissance de la culpabilité et celle du statut de victime sont nécessaires à la construction des enfants. Cela n’empêche pas d’interroger, quand il le faut, la responsabilité institutionnelle de l’administration, comme pour le harcèlement moral au travail chez les adultes. » 

A lire sous ce lien: “La places des élèves harceleurs: l’impensé coupable de l’Education nationale” Médiapart 26 septembre 2023